L’un des bienfaits du voyage, c’est de parfois (souvent) vous remettre à votre place. Une leçon permanente d’humilité, en somme. Tout en vous montrant que vous êtes unique, car différent, le voyage vous rappelle sans cesse à quel point vous êtes un grain de sable sur la plage du monde.
Voici une sélection (loin d’être exhaustive) de moments où je me suis senti bien petit face à l’immensité du monde.
Devant le Toit du Monde – Quand on est déjà à près de 5 000 mètres d’altitude, au pied de l’Everest, et que devant soi se dressent encore 4 000 mètres de roche et de neige, on se sent fourmi.
Au sud, tout au sud – Naviguer au cœur des fjords de Patagonie, côtoyer les glaciers et les éléphants de mer, voguer sur les eaux impétueuses du Cap Horn, m’ont convaincu que non, nous sommes loin d’avoir domestiqué la nature.
Down Under – L’Australie tout entière impose l’humilité. Des formations naturelles impressionnantes, à la faune qui semble beaucoup plus chez elle que le genre humain…
Le paradis vert – L’Amérique du sud offre de multiples occasions de se confronter à la nature dans ce qu’elle a de plus sauvage. De mes voyages dans la forêt humide, m’ont particulièrement impressionné la Guyane, le Surinam et le Venezuela.
Espaces du nord – Qu’il soit d’hiver ou d’été, le Canada est un immense terrain de jeu pour les amoureux de nature en quête d’immensités.
Lagunes et couleurs – La Bolivie offre parmi les paysages les plus spectaculaires de la planète. De lagune en lagune, de désert de sel en plateaux, la tête tourne.
Immensités désertiques – Des roches à droite à perte de vue, du sable à gauche à n’en plus finir… Le désert semble pouvoir vous avaler, mais aussi vous laisse en paix.